
Impliquée et généreuse-Nathalie Gara – Boivin
Par Jocelyne Aird-Bélanger Photo prise par Marie-Pierre Tremblay pendant l’évènement Pose pour une rose, qui est un levée de fond pour le cancer du sein. Bien connue comme professeure de
L’histoire d’un village est constituée de la vie d’hommes et de femmes le plus souvent anonymes. Les femmes surtout disparaissent dans les replis du temps sans laisser de traces inscrites dans l’Histoire. Pourtant, elles ont contribué autant que leurs partenaires au développement et à l’essor de leur communauté. Voici quelques portraits éloquents de Val-Davidoises qui ont marqué la vie notre village au fil du siècle qui s’achève. Des modèles inspirants pour les générations suivantes. (Jocelyne Aird-Bélanger)
Vous connaissez de ces femmes remarquables et vous voulez leur rendre hommage? Vous pouvez communiquer avec la Société d’histoire et du patrimoine de Val-David.
TÉLÉHONE 514-220-3184
ADRESSE COURRIEL info@histoirevaldavid.com
Par Jocelyne Aird-Bélanger Photo prise par Marie-Pierre Tremblay pendant l’évènement Pose pour une rose, qui est un levée de fond pour le cancer du sein. Bien connue comme professeure de
Quand on est toujours derrière la caméra, il peut s’avérer un peu inquiétant de passer devant l’objectif et d’accepter qu’une autre personne choisisse les angles de vue, l’éclairage ou
Originaire du Texas notre concitoyenne Bonnie Baxter habite Val-David depuis 1972. Le Prix Charles Biddle lui a été décerné le 11 octobre dernier. Ce prix souligne l’apport exceptionnel d’une personne ayant
Louise Duhamel : chef et cuisinière émérite Par Jocelyne Aird-Bélanger, Texte paru dans le ski-se-Dit mars 2021 Crédit : Christian Lacroix, photographe
Anne Piché a été conseillère municipale très impliquée dans le plein air et tout spécialement dans le projet du Parc. Elle a été victime d’un éboulis de pierres dans les
VAL-DAVID AU FÉMININ Par Jocelyne Aird-Bélanger en collaboration avec Carmelle Cavezzali Juin 2019 Cécile Monette Davidson, née en 1921 Pour le centenaire de Val-David en 2021, peut-être aurons-nous
Article paru dans le Ski-se-Dit , 12 janvier 2021 par Sandra Mathieu Artiste en arts visuels, journaliste, enseignante, militante, archiviste, conseillère municipale et globetrotteuse, la Val-Davidoise Jocelyne Aird-Bélanger, aujourd’hui
Par Martine Lavallée: On doit aux Québécoises comme elle un legs de citoyens mordus de plein air et de sports d’aventure, un modèle de persévérance et d’énergie même à son âge vénérable de 85 ans.
La Mère Ménard, la Vieille Ménard ou la veuve Ménard sont toutes des surnoms donnés
à Marie-Josephe Ménard, dite aussi veuve Pierre Ménard.
Madame Gilberte Laverdure a été une pionnière de la culture à Val-David.
La bibliothèque de Val-David est née en 1964 du travail bénévole d’un groupe de citoyennes de Val-David réunies au sein du Centre Éducatif et Culturel qu’elles venaient de fonder sous l’impulsion de Gilberte Laverdure.
Simone Campeau a connu une carrière de 51 ans sans interruption dans l’enseignement. Une carrière qu’elle a surtout exercée à Val-David (pendant 37 ans).
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Au début du XIXe siècle, la population du Bas-Canada (le Québec actuel) ne cesse de croître. En un siècle, la population est multipliée par 5, passant de 350 000 personnes vers 1825 à 1 650 000 au début du XXe siècle. Bientôt, le territoire dédié à l’agriculture ne répond plus aux besoins de la population. Les temps sont durs.
L’industrialisation apparaît comme une solution, mais elle change radicalement les habitudes de vie, le rapport à l’argent, la vie familiale, le rôle des femmes et les liens sociaux. Les manufactures offrent des salaires alléchants pour qui ne peut plus vivre à la campagne, mais au prix de conditions de vie difficiles. Passant d’une vie communautaire axée sur l’agriculture à une production organisée et spécialisée, les nouveaux citadins doivent se soumettre aux règles des industries et des villes.
À partir des années 1820, de nombreux Canadiens français émigrent vers les villes de la Nouvelle-Angleterre où l’industrie de la filature exige une main-d’œuvre abondante. Entre 1840 et 1930, près de 900 000 personnes traversent la frontière dans l’espoir d’améliorer leur sort.
Pour pallier cet exode, un grand mouvement de colonisation est mis en œuvre. Des mesures sont mises en place pour inciter la population à s’approprier les vastes territoires encore peu peuplés des Laurentides, de Lanaudière, de la Mauricie, des Bois-Francs et du lac Saint-Jean.
Ainsi, débute la conquête des Cantons du Nord.